Jake O'Briens

Nom : O’Briens.
Prénom : Jake.
Surnom : Nomad.
Sexe : Masculin.
Âge : Vingt ans .
Groupe Sanguin : 0-.
Nom de Code : Nomad-107.

Orientation Sexuel : Hétéro.

Nationalité : Européen.
Lieu de vie : Dublin, Ireland.
Ce qu’il/elle fait : Hacker.



• Nombre de Piercing : Aucun.
• Couleur de Chaussette : Il déteste porter des chaussettes.
• Le prénom qu'il n'aurait jamais voulu porter : Robert.
• Lunette ou verre de Contact : Verre de contact.
• Couleur préféré : Vert.
• Saison préféré : Eté.
• Mauvaise Habitude : Ne débarrasse jamais son plan de travail.
• Alcool ou Jus : Alcool.



Description Physique : Jake est un jeune homme, à vrai dire plutôt charmant. Il est plutôt grand, musclé, imposant, ce qui donne une harmonie agréable à regarder. Dans l’aspect général, il répond à de bons critères que certaines femmes seraient sûrement en mesure de citer. Ses yeux, d’une couleur assez proche du marron, semblent attirés par la vision de tout ce qui l’entoure, comme fascinés par le monde. Si on devait nommer la partie du corps du jeune homme qui serait la plus émotive, ce serait ses yeux, et pourtant, rares sont les personnes qui arrivent à percer le secret de son regard, profond, explicite, et pourtant si mystérieux. En effet, par un étrange procédé, ses yeux qui, si simple semblent-ils être, savent montrer une émotion profonde, qui pour la plupart du temps, fait ressentir à la personne, de la peur. Comme si d’eux-mêmes, ils cherchaient à protéger de chacune des faiblesses que provoquent les sentiments et les émotions, Jake. Pourtant, il est loin d’être le grand méchant loup. Sa bouche, n’est pas bien explicite côté pensée du jeune homme, car, appart montrer un air de létargie, rien ne va plus loin. A moins que, sa voix ne vous soit à l’oreille la plus rapide des mélopées qui pourrait vous guider vers le sens secret des timbres de la mort… En parlant de sa voix, il a une voix monotone, grave, trainante et lassante à entendre. Les cheveux de Jake sont d’un châtain profond, illuminé par quelques timides reflets grisâtres, sans être dû à son grand âge. Peut être une vieillesse prématurée. Au final, le visage du jeune homme révèle des airs serein et calme, bien que parfois ennuyant. La leçon à retenir, ne pas se fier à son regard.

Style Vestimentaire : Plutôt costard, cravate.
Signe Particulier : Aucun.

Description Psychologique : Côté caractère, Jake est un homme, donc, il est compliqué. En effet, il peut être aguicheuse, entreprenant, comme très distant, timide, froid, désagréable, chaleureux et doux. Bien qu’il aime voir le monde, il voudrait le connaître sous toutes ses facettes, et donc, utilise souvent la philosophie. De sa plus belle plume, il aime écrire ses trouvailles, ses mémoires, ses essaies. C’est un homme qu’il faut savoir cerner pour connaître comment agir avec lui. Mise à part se côté de sa personnalité, c’est quelqu’un d’extrèmement réfléchie, qui reste calme, et ce, dans n’importe quelle situation. Il n’agit uniquement, que ci cela est nécessaire, et n’aime pas les personnes fonçant dans le tas sans réflexion. Comme le cite sa nationnalité, Jake est une personne qui aime la bière, fréquenté les pubs, et pas en petite quantité. Son passe-temps favoris, reste et restera toujours le shôgi. Professionnel en la matière, il disputa pas mal de championnat et remporta quelque titre dans la catégorie moins de dix-huit ans. Mise à part le shôgi, il pratique l’aikido et est 4ème dan dans l’art. Mais il n’en oublis pas pour autant les traditions de son pays et pratique le rugby comme deuxième ligne, ainsi que le football gaélique et évolue comme full-back.

Ce qu'il aime et n'aime pas : Trop de chose pour les cités.
Une mauvaise manie : Pas vraiment.
Relation avec les autres : Pas beaucoup depuis la tragédie.
Relation amoureuse : Quelques amourettes au lycée et au collège, à par cela, c’est le vide.



Ma vie... Quand je me lève, parfois, je me demande ce que je fais à cet endroit. J'ai mal au cœur, mais d'une certaine manière j'ai de la chance... Beaucoup de chance. Mais reprenons depuis le début. Je suis né à Belfast, dans cette partie de l'Irlande que réclamaient encore les impérialistes britanniques et leur gouvernement soi-disant républicain. Mon père était instituteur, ma mère musicienne. Tous deux étaient irlandais. Ils étaient doux, justes, généreux. Oui, j'ai vraiment eu une enfance dorée. Nous étions pauvres mais heureux, au sein d'une grande famille unie. Tout allait bien pour moi. Je me souviens encore de ma sœur Laura courant dans les prairies pour aller écouter le chant d'Obéron et de ses elfes dans les hautes herbes. Elle avait deux ans de plus que moi, et je n'avais qu'admiration pour elle. J’étais le D. du bonheur.
Nous avons grandi côte à côte, et je n'ai eu que tardivement conscience que de grands débats idéologiques se déroulaient dans notre chambre, avec son ami John O'Leary et d'autres... Laura avait intégré le Sinn Féin, la branche politique de l'I.R.A.Quand j'avais seize ans, elle a déménagé dans un appartement en ville, pour aller à l'université. C'est seulement là que j'ai pris conscience que les paquets que je lui amenais en vélo de la part d'O'Leary n'étaient pas que des mots tendres et des chocolats... Mais ça ne me déplaisait pas, au fond, d'aider l'armée révolutionnaire. Oui, je pensais vraiment aider ma nation... Peu à peu, je me suis retrouvé impliqué dans un tas de petits trafics, et j'ai connu des tas de gens plus ou moins fréquentables. Mais je n'oubliais pas pour autant les sages paroles de mes parents, et je m’investissais dans cette passion qu’est l’informatique, apprenant divers langage de programmation. Je me perfectionnais, et en devenant même excellent, mais pourtant.
Le bonheur s'est arrêté un vendredi de l'an dernier. Les bobbies anglais sont venus un jour chez mes parents pour les arrêter. Ils ont déclaré que ma sœur était une terroriste, et qu'elle avait tenté de s'enfuir quand la police britannique avait fait une descente dans son appartement universitaire suite à la dénonciation d'un de ceux qu'elle pensait son ami. En accord avec les consignes du nouveau gouvernement, les policiers anglais ne prenaient plus de pincettes avec les terroristes de l'I.R.A. Ils avaient tiré. Laura était morte. Ma douleur fut telle que je ne compris même pas que mes parents étaient emmenés en prison avec moi. Malgré ma colère, ou grâce à elle, j'eu la force de nier tout ce qu'on voulut me faire endosser, conformément à ce que Laura et John m'avaient appris. Ils cessèrent de m'interroger après plusieurs jours. J’étais le D. de la douleur.
Faute de preuve, et vu que j'étais encore mineur quelques mois, ils me relâchèrent. Pas mes parents. Eux sont encore en prison. Je fus placé chez ma vieille et riche tante Seana. Une mégère anglaise de Lincoln avec qui je n'avais rien de commun. Ce furent des semaines d'horreur, pour elle comme pour moi je pense. Je ne pus même pas aller à l'enterrement de ma soeur... J’étais le D. de la solitude.
Au final, ma mégère de tante ne voulait pas entacher l'honneur de sa famille, et au vu de mes bonnes notes, elle chercha une université et surtout un pensionnat où m'envoyer. Plusieurs années plus tard, après et de nombreux diplômes d’informatique en poche, j’intégra la Dublin Institute of Technology comme professeur. Mais le souvenir de ma sœur, et de mes parents en prison me hantait indubitablement. C’est alors que je me mis à pirater divers serveur, tout d’abord pour le plaisir de gêné les autres, mais plus tard, pour l’argent. Je piratais, en m’infiltrant et en récupérant le tant espéré donnée, ou en tout simplement en bousillant divers serveur du gouvernement.



Votre Surnom : Big.
Age & Date d'anniversaire : 14 ans, 16 Mars.
Comment êtes vous tombez sur le forum ? : Par Etéocle Franklin.
Autre chose a dire ? : Non.

Bonsoir,
Et bien, merci bien.