It's a dark dark night in a dark dark world. [37%]

¤ Je vous hais, je vous hais !!
Wayne...
Je vous déteste, je vous déteste tous !!
Wayne...
Arrêtez, arrêtez !!!
Wayne...
JE VEUX MOURIR, LAISSEZ-MOI, JE VOUS HAIS !!!
Wayne...
NE M'AIMEZ PAS, NON !!!
Je ne t'aime pas, Wayne...
... ¤

¤ Nombre de Piercing : Ces minuscules objets de métal sont tout simplement inutiles. Est-ce que vous feriez un piercing à votre chien ? Non ? Alors pourquoi vous en faites-vous ? Êtes-vous si stupides que vous êtes incapables d’avoir un peu plus d’estime pour vous, ne vous considérant pas au même niveau que votre chien ? Tout cela pour dire que cette mode est ridicule… Ce simple mot me dégoûte : Piercing. Écœurant. Vous êtes encore plus bas dans mon estime que vos chiens… ceux-ci peuvent au moins compter une gueule sans bouts de métaux. Vous n’êtes pas encore assez stupides pour vous trouer la peau et ressembler à des arbres de Noël ! Incapables humains… -
¤ Couleur de Chaussette : Je n’arrive pas à croire qu’une telle chose puisse vous intéresser… Je me fiche bien des couleurs de mes chaussettes. La plupart du temps je n’en porte pas. Je préfère marcher pieds nus ; je ne ressens pas le froid après tout. Pourquoi m’embarrasserais-je de tels bouts de tissus quand je n’en ai pas besoin ? La couleur… Gris, blanc, noir ? Cela saura-t-il vous satisfaire ou je dois aussi vous décrire les motifs ? Ah, de toute manière mes chaussettes n’ont jamais de motifs. Encore un autre truc que je ne comprendrai jamais. -
¤ Le prénom qu'il n'aurait jamais voulu porter : Dark. Je ne voudrais pas m’appeler réellement « Dark ». Je trouve cela affreux, horrible… Un autre mot qui m’insupporte totalement. Ça sonne comme une onomatopée de dégoût. Il n’y a rien de mélodieux ou de sympathique à entendre ce mot, à le prononcer. Oh, non. Je ne serais jamais venu au monde avec le nom Dark. C’est trop insupportable, ne serais-ce que d’y songer. -
¤ Lunette ou verre de Contact : Aucun des deux. Je vois très bien où je vais, merci. Pourtant, je n’aime pas tellement le fait de voir, car on a déformé ma vue dès que je suis né. Les gens autour de moi savent regarder autour d’eux d’une manière que je n’arrive pas à saisir. Ils voient un arc-en-ciel où il n’y en a pas… Ils voient le soleil briller, mais moi je n’y arrive pas. Les gens rient et moi je ne sais pas comment faire. Alors je hurle dans ma tête jusqu’à ce que je perde patience et j’explose. J’ai une vue parfaite. Parfaitement grisâtre. -
¤ Couleur préféré : Ma couleur préférée ? Il faudrait d’abord que je sache ce que c’est… Je suis Dark. Je présume que la pénombre, la solitude, le gouffre sans fond sont représentés par le noir. J’apprécie le noir… Il me calme, apaise les cris dans ma tête. Cependant, quand il fait sombre trop longtemps, je me surprends à vouloir tirer sur une corde en quête de lumière. Malheureusement, tout ce que je réussis à attraper, c’est la corde du pendu. C’est mort. Dois-je rire ? Je n’en sais rien… -
¤ Saison préféré : J’aime l’hiver. Pourquoi ? Parce que la plupart des gens détestent cette saison. Au bout d’une semaine ils en ont marre du froid glacial et de la neige qui tombent. Moi pas. Je ne ressens pas le froid, et c’est un but que je me suis fixé : Le ressentir. Je passe souvent de longues heures assit dans la neige, peu vêtu, à tenter de ressentir quelque chose. Ma mère a dû m’envoyer trois fois à l’hôpital parce que j’étais en état de gel. Mes nerfs doivent être en train de péter, à force de colères et de froid… Mais je m’en fiche. Un jour je ressentirai la neige sur ma peau. -
¤ Mauvaise Habitude : J’interprète probablement mal la vie. C’est ce qu’on me dit souvent. Mes pensées sont sombres, paraît-t-il. Je ne fais aucun effort pour avoir l’air plus joyeux, il faut l’avouer… Tenter de sourire m’est impensable. Je ne dois pas mentir, je ne mens jamais. Rire ? Cela sonne beaucoup trop comme une chanson. Je n’aime pas la musique. Elle fait mal aux oreilles, c’est un son insupportable ; comme tous les autres. -
¤ Boisson : On remplit régulièrement le bar, dans mon appart’… Je n’ai pas de boisson favorite. Je ne bois que de l’alcool et de l’eau. -

« Je suis ce que je suis »
Faux. Tu prétends être ce que tu n’es pas.

¤ Description Physique : Imaginez-vous dans une rue de la ville, assit sur un banc de parc vert dépeint. À votre droite il y a quelques petits arbustes qui s’alignent pour former une barrière esthétique qui compose l’élément verdâtre devant cet immeuble aux allègres couleurs. On ne se contente plus d’émettre une pureté maladive en peignant les immeubles de Lonea en blanc immaculé. Oh, non… La couleur est éclatante, même à cette heure du soir. La lune est cachée derrière de grisâtres nuages, et les étoiles ne sont pas présentes. Que faites-vous là ? Cela n’a pas de réelle importance… vos jambes se croisent tandis que vous frottez vos mains gelées l’une contre l’autre dans l’optique de vous réchauffer. Alors que vous songez à la possibilité de partir, vous entendez des pas semi-feutrés qui retentissent à votre gauche où il n’y a rien d’autre qu’un alignement symétrique de bâtiments moins luxueux. Vous ne pouvez pas détacher vos yeux de ce jeune homme…

Environ la vingtaine, plutôt haut bien que cela ne paraisse pas. Pourquoi ? Simplement parce que sa tête est penchée un peu devant lui, de sorte qu’il puisse voir le sol. Ses mains sont plaquées sur la poche de sa veste noire, il semble chercher quelque chose. De grandes mains aux doigts fins aboutissant à des ongles de 5 millimètres. Il relève un peu la tête pour voir où il va… et c’est là que vous vous rendez compte de la beauté de son regard. Tu cligne des yeux ; ils sont bleus. Tu cligne des yeux ; ils sont gris. Tu cligne des yeux ; ils sont noirs. Trois « couleurs » différentes pour trois états différents. Il y a une part de lui qui semble si sage et pleine de fragilité… au contraire l’expression de son visage démontre une telle froideur multipliée par des traits ancrés d’une langueur solide. Vous êtes envouté par ce mystère qui s’épanouit sans cesse à chacun de ses pas, mais vous n’arrivez pas à fixer trop longtemps ce visage, car sa seule vue vous agresse tout autant que l’idée qu’il puisse poser son regard sur vous. Et ce moment où sa minceur longiligne, démonstrative d’un corps qui n’a rien d’extrêmement musculeux, vous apparaît de plus près… Un frisson brouille votre colonne vertébrale, car vous vous rendez compte qu’il est… bien fait, oui. Il passe une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Des cheveux d’une couleur inusitée, étrange. Rose. Alors qu’il tend à continuer son geste, vous découvrez sous sa manche qui s’abaisse au niveau de son coude une peau douce qui se bariole de lignes asymétriques rougeâtres ou plus rosées. Des griffures, à n’en juger l’apparence. Comme cela est intriguant, comme cela fait peur. Il a probablement de longs pieds, d’après ce que vous pouvez voir. Son menton est plutôt prononcé, son visage n’étant pas pour autant disproportionner. C’est étrange… On dirait qu’il est dans son élément, ici. Dans le noir. Il n’a pas besoin de plisser les yeux pour voir, il n’a pas l’air d’avoir froid non plus… Ses cheveux glissent sur sa joue alors que le vent passe.

Vous vous imaginez sa voix… un peu rauque mais pas vieillarde. Mature et brusque. Ce mec là doit chanter comme une casserole. Vous avez l’impression que si ses mains vous attrapaient, elles seraient fermes et ne vous laisseraient plus partir. Même que l’idée vous vient que, peut-être, il se tournera vers vous pour vous attraper et vous enchaîner à son existence. Pourtant, ce n’est qu’une illusion. Il ne se tournera pas vers vous ; il ne vous voit pas. Il lance un soupir… un soupir plein d’exaspération et d’obscurité. Oh… il s’en va. Que ferez-vous, irez-vous l’attraper par l’épaule et lui dire : « Hey ! » Non… vous n’en ferez rien.

Parce que vous ne voulez pas déranger cet homme.
¤ Style Vestimentaire : Il adore se vêtir de noir. Enfin… « Adorer » est un bien grand terme… l’utiliser pour définir les « préférences » de Wayne serait un peu, comment dire, impertinent ? Non, en fait il se vêtit de noir car les couleurs, pour lui, ça ne veut pas dire grand-chose. Ce n’est pas pour autant qu’il se traîne quelques crucifix et qu’il joue les goths… malgré que, parfois l’on peut douter de son côté sombre qui pourrait probablement s’apparenter à des idéaux et/ou à un look de gothique. Enfin… tout cela pour dire que Wayne porte du noir, du blanc, du gris… il n’aime pas trop les « couleurs », voyez-vous…
¤ Signe Particulier :

« Never Ever ForEver Never Ever ForEver »

¤ Diiis, pourquoi tu as les cheveux roses ?
Ça ne te regarde pas
Diiis, pourquoi est-ce que tu ris pas ?
Ça ne te regarde pas
Diiis-
Tu veux mourir, c'est ça ?
N-non... mais...
Je suis un gentil garçon... je vais réaliser ton souhait... papa va être fier de moi
M-mais non... mais... NON !
Meurt
SiLeNcE ¤